How I Learned to Stop Worrying
and Love the Bomb
Profession de foi
Les films ayant comme décor des représentations réalistes de la fin du monde m’ont toujours attiré singulièrement.
C’est sans doute la vision de Charlton Heston dans « La planète des singes » ou plus encore dans « le survivant » quand j’était ado, qui m’a fait découvrir l’intensité dramatique exceptionnelle de ce thème.
Transe
L’ouverture de « Zombie » représente pour moi le summum de ce genre. L’ambiance extraordinaire qui se dégage de ce plateau TV qui, au réel comme au figuré, part en live est hypnotique. La sensation que « si ça devait arriver ça ressemblerait à ça » atténue la virtualité du sujet, et s’adressant directement à nos émotions elle crédibilise son incroyable emphase : « on va tous mourir »Dans un esprit de filmothèque idéale à
Genre
« Mais, c’est quoi ce genre : Les films de
Bonne question.
Un VRAI film de la fin du monde (f2fdm) raconte ce qu’il arrive pendant mais surtout APRES l’élément déclencheur de la catastrophe planétaire (virus, E.T., …).
Par exemple, « Terminator 3 » ou « Dr Folamour » ne sont pas des films de fin du monde, l’holocauste nucléaire n’arrivant qu’aux derniers instants du film. « Tremblement de terre », « Volcano » et autre « Pic de Dante » ne collent pas non plus, trop locaux. En fait ils appartiennent au genre films catastrophe. La ou ça se complique, c’est quand un film, « le jour d’après » par exemple, appartient à la fois au genre f2fdm et au genre film catastrophe… Et oui, les F2FDM sont transversaux, ils peuvent également appartenir à l’horreur au fantastique ou au compte philosophique !
Un vrai F2FDM parle de ces moments ou, après le choc, ce qui reste de l’humanité repart. «Malvil», « The day After », « Le monde, la chair et le diable », par contre répondent complètement au cahier des charge du film dûment estampillé F2FDM.
Vos suggestions pour ce blog welcome.
Prochain post : 1er film : « Le Survivant »
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