mardi 18 novembre 2008

La fin du monde n'est pas pour demain

C'était en juillet, dans la prestigieuse université d'Oxford, que l'Institut pour le Futur de l'Humanité à organisé la 1ere conférence sur les risques de catastrophes globales, celles susceptibles de mettre un terme à nos civilisations.

Résultat : Dormez tranquilles braves gens (air connu) tout va bien, tout va mieux qu'avant. Il est vrai que le sujet n'était PAS les désastres à long terme du type réchauffement climatique ou effondrement de la bio-diversité mais les événements susceptibles de changer brutalement et radicalement les conditions de vie sur terre.
Revue de détail : Bioterrorisme, ça baigne. D'après le Dr Ali Nouri, du Science and Global Security Program de l'Université de Princeton, les industriels rendent de plus en plus difficile la création d'agents pathogènes meurtrière par des mains criminelles.
Nucléaire, no problemo. La baisse des arsenaux américano-soviétique et un meilleur contrôle de la contrebande ne permettraient plus aux terroristes de mener des actions de grandes échelles.
Astéroïdes, t'inquiètes... David Morrison de la NASA nous assure que notre capacité à anticiper les vilains rôdeurs s'améliore.
Virus, ça se gâte un peu et le virologiste John Oxford, de l'hôpital St Bartholomew de Londres refroidit un peu l'ambiance en rappelant que la menace d'une mutation d'un virus de type H5N1 restait lourdement d'actualité.

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